Saliha Bachiri : Chorégraphe / Danseuse
Après avoir suivi une formation de danse contemporaine à l’école Françoise Dupuy en…, elle se spécialise dans les danses du maghreb qu’elle enseigne depuis une quinzaine d’années. Elle se spécialise également dans la danse orientale classique. Elle danse et chorégraphie pour le groupe Djurdjura, le Festival National de la jeunesse algérienne, Rachid Taha…
Elle fonde en 1987 l’association Mistouta et sa propre Cie. Elle crée en 1999 dans le cadre du festival « Couleurs Berbères » de Nanterre « L’une devenant la mémoire de l’autre », un spectacle qui fusionne la danse kabyle et la danse contemporaine. En 2003, elle organise avec Moussa Lebkiri « L’année off de l’Algérie » au Café de la Danse.

Moussa Lebkiri : Auteur / Conteur / Comédien
Il est fondateur du Théâtre Nedjma en 1976. Depuis, il a publié 9 livres aux éditions l’Harmattan, Lierre et Coudrier ainsi qu’un CD chez Enfance et Musique. Il a écrit et joué plus d’une dizaine de spectacles notamment « Une étoile dans l’œil de mon frère », prix du jury au festival du Mai Théâtral de Strasbourg remis par Jean Pierre Chabrol. Il a tourné à travers la France et l’étranger ses spectacles comme « Bouz’louf… tête de mouton », « Réglement de contes », « La belle histoire du beau prince tout moche », « Kif kif piment comme il respire » et « Le jardin des roses et des soupirs » qui lui a valu un franc succès trois années consécutives au festival d’Avignon.

Belkacem Tatem : Metteur en scène
Il est metteur en scène de pièces théâtrales et lyriques. Il est également comédien et peintre. Il met en scène entre autres : «La petite boutique des horreurs », « Priorité au Basilic » de Arezki Metref, « Les Fourberies de Scapin » de Molière…
Il réalise le documentaire « le voyage du kabyle » et des courts métrages comme « Flash « pour Canal +…
Il est aussi formateur auprès de l’AFDAS.
Belkacem Tatem fonde sa propre Cie Atlas théâtre en 1989.


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HADJILA VEDETTE FAMILIALE

Hadjila est vedette danseuse, vedette poétesse de son état d’âme et vedette contrariée par son mektoub.
Un homme amoureux, fan d’elle, l’a suivie dans l’itinéraire de sa vie non touristique. Il nous livre la comédie de sa vie pleine d’émotion drôle.
Hadjila danse et parle en toute liberté sur tous les toits de sa Kabylie natale.
Elle dérange.
On lui demande de danser moins fort.
Elle quitte son village.
Hadjila continue de danser, de chanter à travers tout le Maghreb.
Elle se professionnalise et devient « vedette familiale » dans les mariages, les fêtes où elle danse la kabyle, l’algéroise, la tunisienne, l’oranaise, la chleuh…
Mais la vie artistique de Hadjila n’est pas certifié conforme et bascule de cabaret en cabaret.
C’est alors que le rêve de l’amoureux devient plus fort que la réalité pour sauver Hadjila de la déchéance ; il lui ouvre la porte de l’espoir !
Cette histoire n’est que métaphore
Hadjila est l’Algérie, l’Algérie est Hadjila !
Tu comprendras alors, ô public, que l’Algérie n’est qu’une grosse couscoussière avec des « grosses légumes » dedans que Hadjila passe à la vapeur sarcastique de son esprit aiguisé.